Après avoir reconnu, comme l’ensemble de la communauté internationale, le Parlement de Tobrouk, le 3 octobre, le Soudan a, le lendemain, annoncé son soutien à la médiation algérienne visant à restaurer la paix entre factions libyennes. Cela n’a pas suffi à lever tous les doutes. À Tobrouk, les autorités soupçonnent Khartoum de continuer d’alimenter en armes et en hommes certaines milices islamistes et autres groupes terroristes, tel Ansar al-Charia.
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