Le virus peut également tuer par manque d’informations. Mercredi 22 octobre, deux personnes ont en effet perdu la vie dans des affrontements déclenchés alors qu’un groupe de jeunes s’opposait à un test sanguain sur une femme de 90 ans. Celle-ci était considérée comme un possible cas d’Ebola.
"Nous avons actuellement deux corps à la morgue", a déclaré une source hospitalière jointe depuis Freetown sans pouvoir se prononcer sur la cause de la mort.
(Avec AFP)