C’est la conclusion du rapport annuel publié cette semaine par le Bureau conjoint de l’ONU sur les droits de l’homme. Les principales causes de cette hausse seraient « la restriction de l’espace démocratique » et les « activités accrues de plusieurs groupes armés ».
Cette tendance inquiétante complique davantage l’application de l’accord politique global et inclusif signé le 31 décembre 2016 entre le gouvernement et l’opposition, accord qui devrait mener à une élection présidentielle en décembre 2017.