Dans cette étude publiée le 17 novembre, la banque d’affaires Renaissance Capital analyse les données les plus récentes concernant le budget nigérian.
3 milliard d’euros
La différence entre les revenus budgétaires prévus et ceux effectivement collectés au cours du premier semestre 2016. Les revenus non-pétroliers n’ont représenté que 44% de l’objectif.
– 764 millions d’euros
La chute des recettes collectées au niveau fédéral au cours du deuxième trimestre 2016. C’est le huitième trimestre consécutif que ces revenus baissent.
46%
La part du pétrole dans les revenus collectés au niveau fédéral, contre 78% en moyenne avant la crise. Au deuxième trimestre 2016, les revenus tirés de l’or noir ont chuté d’un tiers.
56,2% du PIB
Le niveau de la dette extérieure, estimée par Renaissance Capital. Celle-ci atteignait 13,7% du PIB en 2014.
64% des revenus
Le coût de la dette pour le budget fédéral. « Le service de la dette empêche d’autres dépenses », décrypte Renaissance Capital.