« Nous déplorons à ce stade 11 morts, 14 disparus et 14 blessés enregistrés. La force des Nations unies s’est interposée mardi et mercredi entre des groupes cherchant à créer des problèmes », a indiqué le directeur de la communication de la Minusca, Hervé Verhoosel.
« La situation a Bangui est maintenant calme », a-t-il ajouté, rappelant que la Minusca et les autorités locales demandaient à la population de « ne pas répondre à la violence par la violence ».
Un bilan de sources hospitalières avait fait état mercredi de six morts.
L’assassinat mardi du commandant Marcel Mombéka par des « groupes d’auto-défense » dans le quartier musulman du PK5 avait entraîné des violences en cascade, dans un pays où les groupes armés menacent une paix fragile.