« Je reconnais les responsabilités des gouvernements français dans l’abandon des harkis, les massacres de ceux restés en Algérie et les conditions d’accueil inhumaines de ceux transférés en France », a déclaré le chef de l’État français, applaudi par les représentants des harkis présents dans l’assistance.
François Hollande a ainsi honoré une promesse faite en avril 2012 durant la campagne présidentielle.