Dès le lendemain, des manifestations gagnaient la capitale pour s’opposer à sa candidature, jugée contraire aux Accords d’Arusha et à la Constitution burundaise.
Depuis, le pays s’est enfoncé dans une crise politique et économique. Mais aussi humanitaire : les violences ont déjà fait plus de 500 morts selon l’ONU, qui estime désormais à plus de 270 000 le nombre de Burundais sur les routes de l’exil.
>> Retour sur les grandes dates d’une crise meurtrière
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