À Abidjan, la naturalisation de l’ancien chef d’État Burkinabé, Blaise Compaoré, ne semble pas du goût de tout le monde. L’opposition conteste avec vigueur la légalité de la procédure pendant que le président Ouattara cherche à la légitimer par tous les moyens.
Blaise Compaoré est actuellement sous le coup d’un mandat d’arrêt émis par les autorités de son pays d’origine, le Burkina Faso. Il est notamment soupçonné d’être impliqué dans la mort de l’ancien chef d’État Thomas Sankara.