Mis à jour à 14h48.
Michel Kafando a estimé dans un entretien à l’AFP indispensable que les dirigeants issus des élections d’octobre dotent le pays d’une nouvelle Constitution, qui serait soumise à référendum.
"Il faut absolument qu’il y ait un changement de Constitution" et que le texte soit soumis "à référendum", a déclaré le président. "Nous allons encourager ceux qui vont (arriver au pouvoir) à aller dans ce sens", a-t-il ajouté, estimant que ce processus ne pourra pas être lancé avant les élections prévues le 11 octobre.