Les Américains, les Français et la Commission de l’Union européenne ont ainsi insisté auprès de Fatou Bensouda, la procureure de la Cour pénale internationale, pour qu’elle publie le 8 mai un communiqué menaçant de poursuites les responsables de crimes et de violences au Burundi.
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Voilà pour le bâton. Côté carotte, une voie de sortie a discrètement été proposée par les mêmes au président burundais, ex-professeur de gymnastique et footballeur émérite, sous la forme d’un poste avantageux au sein de… la Fifa, la fédération internationale de foot. Sur le coup, Nkurunziza n’a pas donné suite. Va-t-il reconsidérer l’offre ?