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"Mettre la culture au service du développement humain, social et économique". Voici le coeur de l’action d’Aadel Essaadani, 47 ans. Taille imposante, chevelure dense, voix grave… Ce colosse ne passe pas inaperçu dans les ruelles de Mers Sultan, à Casablanca, où la très active association qu’il préside, Racines, a élu domicile.
Passionné et "franc-parleur", Aadel Essaadani préside aussi, depuis 2013, Arterial Network, un réseau d’associations et d’artistes africains basé au Cap (Afrique du Sud). Deux mandats qui lui prennent tout son temps, à tel point qu’on se demande comment il fait pour gagner sa vie. "
Je suis consultant en politique culturelle à mes heures perdues", répond-il. Urbaniste de formation, Aadel Essaadani a passé les vingt premières années de sa carrière en France, où il a notamment créé les instituts des métiers du spectacle de Bastia et de Montpellier ainsi que l’Ubu, célèbre club de jazz de Perpignan.
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