Dans ce dossier
Le « super-maire » de la capitale est l’un des hommes dont on parle le plus. Tiré de sa retraite pour être nommé, en 2005, à l’Hôtel de ville, il est violemment critiqué pour sa propension à manier le bulldozer. Mais cet admirateur du baron Haussman poursuit sans états d’âme la destruction des bidonvilles pour élargir les chaussées, aménager des jardins publics ou bien encore créer des parkings…