Dans ce dossier
Le 6 avril 1984, alors que le palais d’Etoudi est assiégé par les soldats mutins de la Garde républicaine, cet officier anglophone du Nord-Ouest se range du côté des loyalistes, conduit Paul Biya à l’abri et organise la résistance. Depuis, il a conservé la confiance du président, qui l’a nommé au poste sensible de directeur de la sécurité présidentielle en 2004 et l’a promu général de brigade en 2005.