Le dépôt des candidatures pour les élections communales sera clos le 29 mai, mais quelques candidats ont déjà confirmé leur entrée en campagne.
C’est le cas de Fathallah Oualalou, l’ancien ministre socialiste des Finances, qui brigue la mairie de Rabat, dont il veut faire « une capitale du XXIe siècle ». Du côté du Parti de la justice et du développement, le doute plane sur la candidature d’Aboubakr Belkora, le maire de Meknès, destitué en janvier pour « mauvaise gestion ». Convaincue de son innocence, la direction du parti le pousse à se représenter. En vain, pour l’instant. Autre difficulté pour le PJD : trouver assez de candidates, surtout en milieu rural, pour atteindre le quota de 12 % de femmes fixé par l’État. À l’Istiqlal, plusieurs ténors du parti ont confirmé leur candidature : le ministre de l’Équipement et du Transport, Karim Ghellab, se représente dans sa commune casablancaise de Ben M’Sick, et Abdellatif Maazouz, celui du Commerce extérieur, à Sefrou.