En dépit d’un investissement de 5 milliards de F CFA, ce complexe acheté par Henri Konan Bédié dans les années 1990 n’a jamais produit un gramme de chocolat. Les machines, dont la plupart n’ont pas même été déballées, sont toujours sur place, mais les autorités chinoises menacent de reprendre les actifs si la production ne commence pas rapidement. Le potentiel de production est de 5 000 tonnes de produits semi-finis et finis (beurre de cacao, poudre et tablettes de chocolat), mais le patron de CKG aimerait le porter à 15 000 tonnes, après rachat des parts de l’État ivoirien (60 %, contre 40 % pour les Chinois). Fin juin, une équipe d’ingénieurs de SN Chocodi devrait retourner sur place pour affiner les études techniques.

© D.R.
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