L’enquête sur le détournement de l’Airbus d’Air France en décembre 1994 n’est pas close. Il est désormais établi que l’un des quatre pirates du commando avait de solides connexions avec l’ambassade de France à Alger. Et pour cause, son frère était l’un des chauffeurs de cette ambassade ultrasécurisée, surnommée « le parc Astérix » par les Algérois. Le détournement du vol Alger-Paris par le commando réclamant la libération des dirigeants du Front islamique du salut (FIS) avait conduit l’appareil et ses 273 passagers sur l’aéroport de Marseille. Quatre otages avaient été exécutés par le commando, lui-même supprimé lors d’un assaut musclé du GIGN.
Le devoir d'informer, la liberté d'écrire.
Jeune Afrique est un média indépendant depuis 1960. Nous croyons qu'une information libre et de qualité est indispensable à la vie démocratique. Nous sommes experts de nos sujets et proposons une information vérifiée et traitée en profondeur.
Choisissez la référence de l'information politique du continent.
Rejoignez nos abonnés.
S'abonner
Newsletter :
déjà 250 000 inscrits !
Recevez chaque jour par email,
les actus Jeune Afrique à ne pas manquer !