En Afrique subsaharienne, la société pétrolière nationale angolaise fait figure d’exemple à suivre. Au fil des ans, elle parvient à s’imposer à l’international. Début 2010, elle a décroché, au terme d’un appel d’offres qui a vu la participation des majors, un contrat pour l’exploitation de deux champs dans le nord de l’Irak. Avant la fin de cette année, la Sonangol opérera donc pour vingt ans dans le champ de Najma (858 millions de barils) et versera au gouvernement irakien six dollars par baril pompé. Sur le deuxième site, Qayara (807 millions de barils), la société publique angolaise devrait payer cinq dollars par baril. Frédéric Cegarra, vice-président de Total en charge des opérations du groupe en Angola, indiquait récemment à Jeune Afrique que « l’Angola, avec la Sonangol, semble se doter d’une société aux ambitions mondiales, à l’instar de Petrobras ou de Gazprom ».
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