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"Ça suffit, la Guadeloupe ne peut plus attendre. Nous sommes à la croisée des chemins", a déclaré Yves Jégo dans un entretien publié par le quotidien français "Le Parisien/Aujourd’hui en France".
"Soit on risque l’affrontement, ce que ne souhaite pas le gouvernement", s’est-il empressé d’expliquer, "soit les six présidents des organisations patronales et les six secrétaires généraux des syndicats se parlent et se mettent d’accord", estimant alors que "la Guadeloupe en sortira grandie".
En tout état de cause, "nous ferons respecter l’Etat de droit si besoin est", car "il n’est pas normal que des commandos de trois ou quatre personnes fassent fermer des usines ou des magasins et prennent la population en otage", juge Yves Jégo. Et de réaffirmert que "la balle est dans le camp du patronat qui doit formuler une proposition complète très rapidement".
Avec AP