Mis à jour le 06/04 à 19h37
Après la Guinée, la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Niger, le Nigeria et la Centrafrique, Sao Tomé e Principe, le Cap-Vert, la Zambie, le Cameroun, le Liberia et la RDC (28 novembre 2011), et le le Sénégal (février-mars 2012), c’est désormais au tour de la Sierra Leone (septembre 2012), du Ghana et du Kenya (décembre 2012), de Madagascar et de l’Angola (2012) d’organiser des scrutins présidentiels. Victime d’un coup d’État et d’une rébellion, le Mali a dû quant à lui ajourner sa présidentielle prévue à la fin d’avril 2012. Des élections à la magistrature suprême toujours à haut risque sur le continent, comme l’a aussi montré la crise postélectorale ivoirienne ou celle en RDC. Des législatives étaient ou sont également au programme, soit en même temps que le scrutin présidentiel (Madagascar et RDC) soit de manière séparée. Ce fut le cas au Maroc (élections anticipée du 25 novembre) et en Côte d’Ivoire, et ce le sera bientôt en Guinée, en Algérie, au Burkina Faso, au Congo-Brazzaville. Un scrutin législatif en plusieurs phases s’est également déroulé en Égypte, pays où les deux tours de l’élection présidentielle ont finalement été fixés au 23-24 mai et 16-17 juin.
Légende : rouge : élection présidentielle, bleu : élections législatives, jaune : autres scrutins nationaux