La fin de non-recevoir est laconique : « Bonjour. Non merci. Cdt. » Sollicitée par texto, le 1er septembre, la députée Nafissatou Diallo, en charge de la communication au Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition), ne souhaite pas s’exprimer dans le cadre d’un article portant sur la situation du parti à l’approche de l’ouverture de la campagne de recueil des parrainages citoyens en vue de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024.
L’histoire ne dit pas si cet accueil glacial est réservé à Jeune Afrique ou si le PDS a fait vœu de silence à un moment où, pourtant, sa parole est plus attendue que jamais.