Son ombre plane désormais sur Libreville, où son frère, Ali Bongo Ondimba, a été « mis à la retraite » ce 30 août par le général et commandant en chef de la garde républicaine, Brice Clotaire Oligui Nguema. Accusée par l’opposant Albert Ondo Ossa d’avoir orchestré le coup d’État – une « révolution de palais », selon lui –, Pascaline Bongo Ondimba ne s’est pas exprimée officiellement, comme souvent.

De gauche à droit : Ali Bongo, Omar Denis Junior, Yacine et Pascaline Bongo lors des funérailles du défunt président gabonais Omar Bongo Ondimba, à Libreville, le 15 juin 2009. © ISSOUF SANOGO/AFP
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