Pascaline Bongo Ondimba redoutait-elle de se retrouver en pleine lumière tandis que la garde républicaine et le général Brice Clotaire Oligui Nguema déposaient son président de frère, ce mercredi 30 août ? Ce fut en tout cas peine perdue puisque, dès le lendemain du coup d’État, l’opposant Albert Ondo Ossa accusait la sœur du chef de l’État déchu d’être « derrière » l’officier putschiste, qui prêtera serment lundi 4 septembre à la tête de la transition gabonaise. « C’est une révolution de palais, ajoute-t-il. Un Bongo a remplacé un autre Bongo ! »

Pascaline Bongo et son frère cadet de trois ans, Ali Bongo Ondimba. © Montage JA : bp.blospot.com ; Présidence de la République gabonaise
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