Pour la première fois, en août, un Ougandais de 20 ans a été inculpé pour « homosexualité aggravée », un délit passible de la peine de mort depuis que l’une des lois anti-homosexualité les plus sévères au monde y a été promulguée, fin mai.
Largement condamnée par les organisations de défense des droits humains, cette nouvelle législation est loin d’être un cas isolé en Afrique, où 32 pays (sur 64 dans le monde) punissent encore les relations homosexuelles et où, bien souvent, la répression s’intensifie.