Parler de discrétion serait un euphémisme. Quelques jours après que la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a annoncé, jeudi 10 août, qu’elle se tenait prête à intervenir militairement au Niger, le Maroc se montre toujours aussi silencieux sur le coup d’État, tandis que le président nigérien Mohamed Bazoum est détenu par les putschistes du général Abdourahamane Tiani depuis le 26 juillet.

Manifestation de soutien aux putschistes, à Niamey, le 30 juillet 2023. © AFP
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
Choisissez d'être bien informé(e).
Accédez à tous les articles en illimité.
S'abonner- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Jeune Afrique
À lire aussi
- Coup d’État au Niger : « Le général Tiani n’est pas Che Guevara ! »
- Coup d’État au Niger : l’étrange séjour nigérian du député Sani Boukari
- Au Niger, au moins 17 soldats tués près du Burkina Faso
- Au Tchad, visite « surprise » du Premier ministre nigérien nommé par les putschistes
- Coup d’État au Niger : les chefs d’état-major de la Cedeao se réuniront au Ghana
- Coup d’État au Niger : entre Goïta, Traoré et la Cedeao, Doumbouya, l’électron libre