Depuis le début du mois d’août, l’ambassade du Niger à Paris est devenue le théâtre d’une lutte sourde, opposant deux clans qui semblent irréconciliables. Point de départ de ce conflit : le 3 août, quelques jours après le putsch au Niger, l’ambassadrice Aïchatou Boulama Kané, était relevée de ses fonctions par le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) du général Abdourahamane Tiani.

Ambassade du Niger © Christel Jeanne pour JA
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