Le conflit judiciaire qui oppose Yaoundé à Magil Construction Corporation, une filiale du groupe français Fayolle, à la suite de la rupture d’un « contrat commercial » conclu le 3 janvier 2020, rebondit encore. Dans une décision de la Cour internationale d’arbitrage de Paris, rendue le 14 avril et que Jeune Afrique a consulté, l’instance judiciaire ordonne à l’État du Cameroun, représenté par le ministère des Sports et de l’Éducation physique, de verser 23 millions d’euros à l’entreprise de BTP canadienne Magil Construction Corporation.

Une vue du stade d’Olembe, au Cameroun, en octobre 2021. © Victor Zebaze
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