Économie

Maroc, Guinée, Togo… Gagnants et perdants du trafic aérien post-Covid

Si le trafic aérien sur le continent tend à rattraper son niveau de 2019, certains pays s’en sortent mieux que d’autres. Mais des problèmes « structurels » demeurent, souligne l’Association du transport aérien international.

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Mis à jour le 4 juillet 2023 à 16:39

Selon l’Iata, le Maroc sort gagnant en Afrique de la comparaison entre la situation du trafic au 1er trimestre 2023 et celle du 1er trimestre 2019. © Laurent GRANDGUILLOT/REA

Avec 20 % de passagers en plus pour un nombre de sièges équivalent, le Maroc sort gagnant en Afrique de la comparaison entre la situation du trafic au 1er trimestre 2023 et celle du 1er trimestre 2019, estime l’unité économique de l’Association du transport aérien international (Iata).

Tout en précisant que son analyse « illustre le trafic, et non la santé financière des compagnies ou leur profitabilité », l’organisation professionnelle se félicite pour l’« utilisation plus efficace » des capacités dont disposent les opérateurs locaux, parmi lesquels le pavillon national, Royal Air Maroc (RAM), mais aussi Air Arabia Maroc.

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