Il aura bien lieu. Pendant des semaines, des rumeurs ont laissé entendre que l’Aïd al-Adha, la plus grande fête religieuse musulmane, qui sera célébré au Maroc le 29 juin, pourrait ne pas se tenir.
En cause : l’inflation généralisée, à l’origine d’une forte augmentation des prix du mouton. Ces spéculations, alimentées en grande partie par les réseaux sociaux, ont semé le doute sur le maintien du rite sacrificiel dans le royaume. Il n’a, en réalité, jamais été question de son annulation.