Informé, lors de la fête nationale du 20-Mai, de la multiplication des discours à connotation communautariste dans les médias, Paul Biya est remonté contre les responsables qui ont laissé ce phénomène se développer. Le chef de l’État a ainsi demandé aux membres du gouvernement concernés de sanctionner sévèrement toute incitation à la haine tribale. Et ils sont passés à l’offensive.

Le président camerounais Paul Biya au palais présidentiel de Yaoundé, le 26 juillet 2022. © Stephane Lemouton/Bestimage via Sipa
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