Plusieurs jours durant, des informations contradictoires ont circulé pour expliquer l’arrestation de Salomon Idi Kalonda, interpellé le 30 mai à l’aéroport international de N’Djili alors qu’il s’apprêtait à regagner Lubumbashi. L’opposant Moïse Katumbi s’en est bruyamment indigné, dénonçant « l’enlèvement » de son bras droit. Mais l’on sait désormais ce que les autorités lui reprochent, et les accusations portées contre lui sont d’une extrême gravité.

L’opposant congolais Moïse Katumbi et Salomon Idi Kalonda à Genève, le 2 juin 2017. © Fabrice Coffrini/AFP
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