À Libreville, sur la façade du QG de Jean Ping, pris d’assaut dans la nuit du 1er septembre 2016 par la Garde républicaine gabonaise, flotte encore, suspendue au balcon du 5e étage, une grande bannière annonçant le candidat de l’opposition président. Pourtant, celui qui se proclame vainqueur de la dernière élection présidentielle se fait rare dans ses anciens bureaux de campagne. Toujours vide, l’immeuble semble être figé dans le temps depuis sept ans.

Le quartier général de Jean Ping, à Libreville, le 1er septembre 2016, après que l’assaut a été donné par la Garde républicaine gabonaise. © MARCO LONGARI/AFP.
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