« La Syrie ne cédera pas, elle sortira plus forte, et les complots contre elle échoueront », avait froidement annoncé le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Moallem, 48 heures après la suspension de son pays de la Ligue arabe, le 12 novembre 2011. Il ne s’était pas tout à fait trompé : onze ans et demi plus tard, le régime de Damas y a été réintégré à la quasi-unanimité et son maître, Bachar al-Assad, a été reçu avec les égards dus à un chef d’État au sommet du 19 mai, en Arabie saoudite.

Bachar al-Assad à son arrivée à Moscou, le 14 mars 2023. © SANA/AFP
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
Choisissez d'être bien informé(e).
Accédez à tous les articles en illimité.
S'abonner- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Jeune Afrique