Inconnu de la grande majorité des Camerounais, l’Israélien Eran Moas n’a eu aucune difficulté à se fondre dans le décor de l’hôpital militaire de Yaoundé, ce 13 mai, malgré la présence à ses côtés d’une demi-dizaine de gardes en civil. Fait rare pour cet insaisissable personnage, passé maître dans l’art de se rendre invisible, des journalistes ont été autorisés à assister à l’événement, avec interdiction de prendre des photos. Même dans ses activités humanitaires, l’homme d’affaires tient au secret.

Eran Moas © Jean-Marc Pau pour JA
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