Il aura fallu près d’un an de laborieuses négociations pour accoucher d’un texte de 42 pages et 68 articles, considéré comme le seul espoir pour la paix au Mali. Le 15 mai 2015, l’accord de paix issu du processus d’Alger scellait le cessez-le-feu entre les rebelles indépendantistes du Nord et le gouvernement malien, contre qui les premiers avaient pris les armes en 2012. Chef de file de la médiation internationale, Ramtane Lamamra, à l’époque ministre algérien des Affaires étrangères, avait alors salué une « boussole crédible et efficace vers la paix ».

Le secrétaire général du MNLA, Bilal Ag Acherif (à gauche), et le ministre algérien des Affaires étrangères de l’époque, Ramtane Lamamra, le 19 février 2015 à Alger. © AFP
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