Afin de trouver une issue au conflit qui oppose, depuis le 15 avril Abdel Fattah al-Burhane et Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemetti, les initiatives affluent. L’Autorité intergouvernementale pour le développement (Igad) est toujours, entre autres, en première ligne.
Cette organisation, qui regroupe Djibouti, l’Éthiopie, le Kenya, la Somalie, le Soudan, le Soudan du Sud et l’Ouganda, attend toujours de pouvoir envoyer à Khartoum trois de ses présidents, à savoir Ismaïl Omar Guelleh, William Ruto et Salva Kiir. Mais d’autres pays se positionnent aussi comme l’Arabie saoudite, épaulée par les États-Unis.