Idrissa Seck se pensait-il maître du temps ? En déclarant sa candidature à la présidentielle le 15 avril, alors qu’il n’avait pas encore quitté Benno Bokk Yakaar (BBY), la coalition au pouvoir, l’ancien Premier ministre a essuyé de vives récriminations des cadres de l’Alliance pour la République (APR), le parti présidentiel. Elles ont commencé au sein du Conseil économique, social et environnemental (Cese) – l’institution qu’il présidait depuis novembre 2020, quand il a rallié la majorité présidentielle –, avant de s’étendre à une majorité des caciques de l’alliance gouvernementale.

L’unité affichée par les thuriféraires de Macky Sall cache mal les divergences internes. © LUCIA WEISS/DPA/AFP.
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