À en croire ses détracteurs, il serait un magistrat « en mal d’inspiration conforme aux bonnes mœurs », reconverti « en homme politique de circonstance ». Des quolibets qui ne semblent pas ébranler Cheick Mohamed Chérif Koné qui, droit dans ses bottes, multiplie les attaques en règle à l’encontre de la junte dirigée par le colonel Assimi Goïta.

Mohamed Chérif Koné, ancien premier avocat de la Cour suprême, est devenu le coordinateur de l’Appel du 20 février. © DR