LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE – Dans l’interminable feuilleton du prêt de 1,9 milliard de dollars du Fonds monétaire international (FMI) à la Tunisie, on connaît les personnages principaux : Kaïs Saïed, l’intransigeant président tunisien qui refuse les « diktats » de l’institution ; Marouane Abassi, l’esseulé gouverneur de la Banque centrale qui veut convaincre le Fonds de la crédibilité du pays ; et Kristalina Georgieva, l’empressée directrice du FMI qui refuse que son institution passe pour responsable d’un éventuel échec de l’accord.
Mais il existe une quatrième figure, en retrait sur les photos : Jihad Azour, le directeur de la région Afrique du Nord, Moyen-Orient et Asie centrale pour le FMI.