Ce 15 avril, c’est un tableau très sombre que dresse Fulgence Muteba Mugalu, l’archevêque de Lubumbashi. « À cause de l’insécurité et des tueries aveugles, notre ville tend à devenir l’épicentre de la violence, une cité de sang, une société de la mort, où les habitants font l’amère expérience d’être abandonnés à eux-mêmes […]. On tue sauvagement, on cambriole, on attaque sans vergogne, on arrache de l’argent et des biens, on viole impitoyablement et ainsi de suite. »

Lubumbashi, deuxième ville de RDC. © MICHAEL RUNKEL/AFP
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