Pedro Sanchez, le chef du gouvernement espagnol, est attendu le 19 avril prochain pour s’exprimer – ou plutôt se justifier – devant son parlement. Au menu de cette allocution prévue en session plénière du Congrès : l’évolution du conflit en Ukraine, mais surtout l’état des relations entre l’Espagne et le Maroc, en réponse à une requête présentée le 21 février par le Parti populaire (PP), principal parti d’opposition et soutenue par Vox, Ciudadanos, mais aussi notamment Unidas Podemos.

Enaam Mayara, président marocain de la Chambre des conseillers, a relancé la polémique maroco-espagnole à propos de Ceuta et Melilla. © MAP
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