La cour d’appel de Paris a confirmé ce mercredi l’irrecevabilité des poursuites en diffamation intentées par le Maroc contre des ONG et des médias français qui avaient accusé Rabat d’utiliser le logiciel Pegasus pour espionner des journalistes et personnalités françaises.
Le 25 mars dernier, le tribunal correctionnel de Paris était arrivé à la même conclusion, rendant pas moins de dix jugements déclarant l’irrecevabilité des citations directes contre Le Monde, Radio France, France Médias Monde, Mediapart, L’Humanité, Forbidden Stories et Amnesty International.