Cette situation est un sujet de préoccupation entre le gouvernement ivoirien et les dirigeants de la transition burkinabè. Ces dernières semaines, Alassane Ouattara a manifesté son inquiétude face à l’affluence des populations qui fuient à la fois les exactions de l’armée, des groupes terroristes, mais aussi des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), les supplétifs civils des forces de sécurité. En mars, le président a mandaté à ce sujet Fidèle Sarassoro, son directeur de cabinet et secrétaire exécutif du Conseil national de sécurité (CNS).

Alassane Ouattara lors du 2e sommet sur la démocratie, organisé par les États-Unis, le 29 mars 2023. © Présidence de la République de Côte d’Ivoire
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
Choisissez d'être bien informé(e).
Accédez à tous les articles en illimité.
S'abonner- Tous les articles en illimité
- Le magazine en avant-première
- Les exclusivités Abonnés
- Les archives de Jeune Afrique