S’agissait-il d’éclipser l’allocution présidentielle prononcée le 3 avril à 20 heures, veille de la fête nationale du Sénégal ? Toujours est-il qu’Idrissa Seck, à la fois président du parti Rewmi et du Conseil économique, social et environnemental (Cese), s’est livré à un feu d’artifice de déclarations, replaçant l’échéance de février 2024 au cœur de l’agenda en ce jour férié où l’actualité est traditionnellement morose.

Idrissa Seck durant la campagne présidentielle de 2019, à Dakar. © Sylvain Cherkaoui pour JA