Dans une note adressée à son personnel et dont Jeune Afrique a obtenu la copie, Louise Mushikiwabo affirme que « nous avons un défi majeur à relever ensemble : celui des ressources humaines ». Et d’ajouter que l’Organisation internationale de la francophonie « doit poursuivre de façon drastique le contrôle de sa masse salariale ».
Dans le même document, daté du 21 mars, la secrétaire générale de l’OIF précise que sur les 31,9 millions d’euros de budget alloués aux ressources humaines pour l’année 2023, « il reste seulement 1,1 million d’euros disponible », une fois ôtés la rémunération des 24 postes prioritaires dernièrement ouverts, ainsi que les charges incompressibles de l’institution.