États-Unis : les dernières frasques de JFK

Mimi Alford, une des maîtresses de John F. Kennedy, révèle dans le livre « Once Upon a Secret » les dessous de sa liaison avec l’ancien président américain.

John F.Kennedy et sa femme Jackie en 1961. © AFP

John F.Kennedy et sa femme Jackie en 1961. © AFP

Publié le 16 février 2012 Lecture : 1 minute.

Été 1962. Mimi Alford est stagiaire au service de presse de la Maison Blanche depuis quatre jours lorsqu’elle rencontre John F. Kennedy. Après quelques brasses dans la piscine présidentielle et une soirée, ce mari volage la renverse sur le propre lit de son épouse, Jackie. Mimi a 19 ans, il en a 45, et leur liaison durera jusqu’à la mort de ce dernier, en novembre 1963.

À 69 ans, Alford publie aux États-Unis Once Upon a Secret (en français, Une ­singulière histoire d’amour, Oh ! Éditions). On y apprend notamment que JFK ne l’embrassa jamais et qu’elle devait l’appeler « monsieur le président » ; qu’il la pria un jour d’accorder ses faveurs à l’un de ses collaborateurs, ainsi qu’à son frère cadet, Ted Kennedy ; qu’elle accepta la première proposition, mais déclina la seconde. « Nous passions un temps fou dans la baignoire, à jouer avec deux canards jaunes en plastique », raconte Mimi.

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JFK lui parut moins serein lors de la crise des missiles de Cuba, lui confiant préférer voir ses enfants communistes que morts. Après son retour à l’université, le président continua de l’appeler, en utilisant le pseudonyme de « Michael Carter », et envoya des voitures la chercher pour l’amener à la Maison Blanche. Mimi le vit pour la dernière fois une semaine avant son assassinat, alors qu’elle était sur le point de se marier. Il lui promit qu’il l’appellerait « quand même ».

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