Denis Kadima l’avoue lui-même, il a « hâte d’en finir ». En cette matinée du 10 mars, au troisième étage de ses bureaux situés sur le boulevard du 30-Juin, le patron de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) peine à mettre de l’ordre dans ses dossiers. Quelques minutes plus tôt, il annonçait le prolongement de la période d’enregistrement des électeurs pour la zone numéro deux, qui englobe notamment le Grand Kasaï. Et quelques heures plus tard, c’est par voie de communiqué que la Ceni dénoncera les actes de vandalisme commis dans un centre d’enrôlement situé dans la province de l’Ituri.

Denis Kadima, le président de la Ceni, à Kinshasa. © Arsene Mpiana pour JA
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