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Accès à l’eau : le grand défi africain
Au chapitre des griefs formulés par le ministre algérien des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal : des retards dans la concrétisation des objectifs, notamment en termes de service continu et d’assainissement. À moins de deux ans de l’échéance du contrat, la réduction des fuites et la réalisation d’un centre de formation sont aussi des engagements restés lettre morte. « Au moment où [l’espagnol] Agbar s’apprête à assurer le service continu à Oran, à Constantine, les résultats évoluent en dents de scie et plusieurs projets sont en retard », a souligné le ministre.