Voilà des mois que le ton monte. Par communiqués interposés, la relation historiquement fragile entre le gouvernement malien et les mouvements signataires de l’accord de paix dit « d’Alger », s’est considérablement délitée. De là à considérer que le divorce est inévitable ? Aucun des camps ne souhaite en tout cas endosser la responsabilité de la rupture de l’accord signé en 2015, qui tient lieu de cessez-le-feu entre les anciens belligérants.

Mohamed Elmaouloud Ramadane. © Facebook
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