« IB, à quand la paix ? », « La Tapoa pleure ». Voici quelques-uns des slogans qu’on pouvait lire sur les pancartes des manifestants ce 1er mars, dans les rues de Diapaga, chef-lieu de la province de la Tapoa, dans l’Est du Burkina Faso, où une foule excédée était rassemblée pour dénoncer la situation sécuritaire dans la région.

Des familles déplacées qui ont fui les attaques jihadistes dans le nord et l’est du Burkina Faso, à Gampela près de Ouagadougou le 6 octobre 2022. © ISSOUF SANOGO/AFP
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