C’est une petite révolution au Cameroun : le 24 février, le président du Sénat, Marcel Niat Njifenji, a procédé à une série de nominations au sein de la chambre haute du Parlement. Des conseillers techniques aux chefs de service en passant par ceux des différentes divisions, une cinquantaine de personnes ont été affectées à des postes restés vacants. Cela pourrait paraître anodin, mais ce serait oublier que, jusque-là, cette institution qui a vu le jour il y a dix ans ne disposait d’aucun organigramme clair.

Marcel Niat Njifenji (à g.) et Michel Meva’a Meboutou, respectivement président et secrétaire général du Sénat camerounais. © Montage JA-Maboup
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